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Incidents troublants chez Ambulances Demers

La Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) a appris dans les dernières semaines qu’un membre du personnel-cadre de l’entreprise de services ambulanciers Ambulances Demers inc. a eu des comportements inacceptables envers certaines travailleuses.

Nous avons dénoncé la situation à l’employeur, qui fournit les services ambulanciers dans les zones d’opération de Beloeil/Boucherville, Farnham, Lacolle, Hemmingford et Saint-Jean-sur-le-Richelieu. La réponse du PDG de l’entreprise nous a été de nous remettant sa politique en matière de harcèlement au travail et en nous assurant qu’il ne tolèrerait pas ce genre de comportements.

Afin de connaître l’ampleur des incidents et donner à ces victimes le support dont elles pourraient avoir besoin, nous souhaitons encourager les victimes à témoigner de leur expérience.

Nous avons jusqu’à maintenant recueilli quelques témoignages de victimes de cette personne et nous invitons les personnes qui auraient été victimes de ces agissements et qui souhaitent les dénoncer à nous écrire au enquete@ftpq.ca. Vos témoignages seront confidentiels et traités par une seule personne qui s’assurera de faire une compilation de ceux-ci en respectant, si c’est votre souhait, votre désir d’anonymat.

« Dénoncer un climat de travail malsain et ignorer ce type d’incidents, c’est se mettre la tête dans le sable. Parfois, même si en surface un problème semble réglé, l’infection est toujours présente. Ce genre de situation ne peut pas être balayé sous le tapis » a déclaré Gabriel Tremblay-Rousselle, président de la section locale de Beloeil de la FTPQ.

Première rencontre de médiation positive

Suite à la demande de médiation faite par la Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) et au dépôt d’une offre globale déposé par la partie patronale, une première rencontre de médiation avait lieu aujourd’hui.

Cette première rencontre a permis certaines avancées, mais surtout de convenir d’un calendrier de rencontres qui auront un rythme intéressant, nous permettant d’espérer en venir à une entente avant l’été.

Menée par monsieur Vincent Nadeau, médiateur d’expérience qui connaît le milieu du préhospitalier, la médiation va nous permettre d’échanger sur les nouvelles bases de l’offre globale et nous assurera que la partie patronale comprenne bien les demandes de nos membres afin qu’elle puisse enfin arriver à y répondre.

Les paramédics veulent un contrat de travail négocié. Ils demandent notamment un changement de la structure salariale en plus d’augmentations de salaire substantielles pour chacune des années du contrat, des mécanismes pour assurer la prise d’une période de repas pendant leur quart de travail, des améliorations au régime de retraite visant à baisser l’âge de la retraite, et une baisse du coût des assurances collectives. Même si elles ne font pas partie de la présente négociation, l’abolition des horaires de faction et l’ajout d’effectifs demeurent des demandes prioritaires de la FTPQ.

Première rencontre avec le médiateur

La Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) a participé à une première rencontre avec le médiateur au cours de laquelle il a été possible d’annoncer la teneur de notre retour global en vue de la rencontre du 28 avril prochain à Québec.

En gros, l’offre globale de la partie patronale est une version bonifiée de l’offre qui nous avait été présentée le 21 décembre dernier. La médiation va nous permettre d’échanger sur ces nouvelles bases et nous assurer que la partie patronale comprenne bien les demandes de nos membres et qu’elle puisse enfin arriver à y répondre.

« Notre volonté est d’arriver à un règlement rapide, avant l’été. La rencontre de médiation du 28 avril prochain nous permettra d’établir un calendrier de négociation » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

Les principales demandes de la FTPQ dans la présente négociation sont une révision de l’échelle salariale, une amélioration des conditions de prise de retraite, une hausse de la contribution patronale au régime d’assurance collective et un mécanisme pour assurer aux paramédics la possibilité de prendre leur pause de repas. Même si elles ne font pas partie de la présente négociation, l’abolition des horaires de faction et l’ajout d’effectifs demeurent des demandes prioritaires de la FTPQ.

Dépôt de l’offre globale : Un pas dans la bonne direction…

La Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) estime que le dépôt global présenté aujourd’hui par les associations patronales et le gouvernement du Québec à l’ensemble des syndicats de paramédics du Québec est un pas dans la bonne direction. Le comité de négociation de la FTPQ constate tout de même que beaucoup de travail reste à faire avant d’en arriver à une entente de principe qui pourrait être présentée à ses membres.

Le dépôt d’aujourd’hui présente des différences significatives avec l’offre initiale déposée par la partie patronale et représente une première avancée depuis la demande de médiation déposée par la FTPQ lundi dernier. La FTPQ a obtenu plusieurs dates de conciliation et de médiation dans les prochaines semaines et souhaite une entente dans les plus brefs délais.

« Nos principales demandes demeurent sur la table et nous trouvons dans cette offre une bonne base pour aller de l’avant. Nous sentons, pour la première fois depuis longtemps, une écoute de la part du gouvernement du Québec et espérons que ça donnera un nouveau rythme à la négociation » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

Les principales demandes de la FTPQ dans la présente négociation sont une révision de l’échelle salariale, une amélioration des conditions de prise de retraite, l’abolition des horaires de faction, une hausse de la contribution patronale au régime d’assurance collective et un mécanisme pour assurer aux paramédics la possibilité de prendre leur pause de repas.

Renouvellement de la convention collective : Le gouvernement dépose une offre Globale

De façon inattendue, Le Conseil du trésor du gouvernement du Québec a déposé ce matin une offre globale à l’ensemble des syndicats qui négociaient depuis deux ans le renouvellement de leur convention collective. La Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) est surprise de ce geste et prendra le temps d’analyser l’offre avant de prendre position sur celle-ci.

Excédée par le peu d’ouverture de la partie patronale et du gouvernement du Québec, la Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) a déposé le 11 avril dernier une demande au ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale de nommer un médiateur afin de sortir la négociation de l’impasse où elle se trouvait.

« Jusqu’à cette semaine, nous étions face à une partie patronale qui faisait du surplace et ne semblait pas avoir de mandat. Ce mouvement soudain nous surprend, mais dans la mesure où nos demandes étaient très claires, nous prendrons le temps de voir si cette offre répond à nos attentes. » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

Par ailleurs, le ministère de la Santé et des Services sociaux a convoqué la FTPQ cet après-midi pour une annonce qui touchera la gestion des effectifs paramédicaux et les horaires de faction. Ce dossier, même s’il ne touche pas directement le renouvellement de la convention collective, fait l’objet de revendications de la FTPQ depuis plusieurs années.

La FTPQ demande la nomination d’un médiateur

Excédée par le peu d’ouverture de la partie patronale et du gouvernement du Québec, la Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) a demandé au ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale de nommer un médiateur afin de sortir la négociation de l’impasse où elle se trouve.

Les paramédics de la FTPQ sont sans contrat de travail depuis le 1er avril 2020. Ils sont en grève légale depuis 2 mois. Afin de protéger la santé et la sécurité du public, cette grève est encadrée par le Tribunal administratif du travail afin d’assurer le maintien des services essentiels. Le volet normatif avait été presque complètement réglé avec les employeurs privés. La négociation salariale fait toutefois du surplace depuis que le Conseil du trésor a pris en main les négociations.

« Les représentants du gouvernement ne semblent pas avoir de mandat et les représentants des entreprises privées font maintenant de la figuration. Nous ne comprenons pas pourquoi le gouvernement du Québec se traîne les pieds pour reconnaître le travail des paramédics québécois et de les rémunérer à la hauteur des responsabilités immenses qu’ils auront suite à la refonte du réseau de la santé promise par le ministre Dubé. S’il veut que le réseau de la santé soit un milieu de travail attirant, il a la chance de donner le ton à sa réforme en réglant le dossier des paramédics » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

La FTPQ est un syndicat majeur dans le domaine du préhospitalier. Nous sommes le seul syndicat indépendant exclusif de paramédics au Québec. La FTPQ est un syndicat affilié au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui représente plus de 17 000 paramédics au Canada, ainsi qu’à la FTQ, la plus grosse centrale syndicale au Québec.

Retour au travail post-COVID des paramédics : Pas de risque à prendre!

La Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) s’inquiète de voir plusieurs employeurs privés du secteur préhospitalier ne pas suivre les directives de l’Institut national de Santé publique du Québec (INSPQ) lorsque vient le temps de réintégrer des paramédics ayant contracté la COVID-19. Cette pratique met en danger les patients qui seront traités par ces paramédics ainsi que les collègues de travail du réseau de la santé québécois, qui est déjà mis à rude épreuve par la sixième vague de COVID-19.

Plusieurs entreprises ont effectivement décidé de rappeler les paramédics après 5 jours plutôt que les 10 jours recommandés par l’INSPQ. Plusieurs entreprises font cette demande aux travailleurs et travailleuses sans respecter les conditions d’auto-isolement strict en milieu de travail qu’implique un retour hâtif au travail.

La gestion des cas chez les travailleurs de la santé est différente de celle dans la population générale. Dans la version du 1er avril 2022 de son guide SRAS-CoV-2 : Gestion des travailleurs de la santé en milieu de soins, stipule que malgré la vaccination, l’INSPQ indique qu’un travailleur de la santé avec contact domiciliaire doit être retiré de son milieu de travail jusqu’au premier test de dépistage par test d’amplification des acides nucléiques effectué en laboratoire (TAAN-labo) négatif. Les TAAN-labo sont mieux connus sous le nom test PCR.  Les travailleurs infectés qui sont au travail risquent d’infecter leurs collègues et les patients qu’ils traitent.

« En demandant aux paramédics d’utiliser des tests rapides sur leur lieu de travail alors qu’ils apprennent qu’un de leur proche est infecté ou en leur disant de revenir alors qu’ils ont encore d’importants symptômes suite à une infection, certains employeurs montrent le peu d’intérêt qu’ils ont envers les « anges gardiens » qui sont sur le front de la pandémie depuis deux ans » a déclaré Gabriel Tremblay-Rousselle, président de la FTPQ de Beloeil/Boucherville.

« Il est grand temps que le ministère de la Santé et des Services sociaux mette au pas les entreprises ambulancières qui tournent les coins ronds en matière de prévention. Les paramédics ne doivent pas devenir des vecteurs, au sein de la population, d’un virus qu’ils combattent » a pour sa part déclaré Benoit Cowell Président de la FTPQ-7300.

La FTPQ est un syndicat majeur dans le domaine du préhospitalier. Nous sommes le seul syndicat indépendant exclusif de paramédics au Québec. La FTPQ est un syndicat affilié au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui représente plus de 17 000 paramédics au Canada, ainsi qu’à la FTQ, la plus grosse centrale syndicale au Québec.

Des députés caquistes déconnectés!

La Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) se désole de voir de plus en plus de députés de la CAQ se moquer des demandes des paramédics pour le renouvellement de leur convention collective et balayer du revers de la main les demandes visant à améliorer le service ambulancier auquel la population a droit.

Le dernier épisode s’est déroulé à Granby, où l’équipe du député François Bonnardel a crié au vandalisme lorsque des paramédics sont allés remplacer le drapeau qui flottait au-dessus de l’édifice abritant son bureau et a ajouté que ce geste ne contribuait pas à faire « avancer notre dossier ».

« Ce sont eux qui sont les vandales! Ils vandalisent la motivation des paramédics québécois en laissant les négociations avec nos représentants s’éterniser. Les ravages qu’ils font actuellement en ne reconnaissant pas notre métier laisseront beaucoup plus de traces que le drapeau qui a flotté pendant quelques jours au-dessus de leur bureau. » a déclaré Jean Papineau, président de la FTPQ de Granby.

Plus tôt, c’était au tour de la députée Marie-Ève Proulx de clamer se sentir intimidée par l’insistance des paramédics de Saint-Jean-Port-Joli qui réclament la conversion de leur horaire de faction. Or, le secteur de Saint-Jean-Port-Joli répond aux critères du ministère de la Santé et des Services sociaux pour la conversion de son horaire de faction depuis plusieurs années, mais la députée Proulx ne juge pas pertinent d’appuyer les paramédics et sa population en réclamant au CISSS local la conversion de l’horaire de faction en horaire de travail normal.

« La députée Proulx nous a reçus, une seule fois, pour écouter nos arguments. Mais depuis ce temps, c’est silence radio. Il est impossible de la rencontrer à nouveau pour savoir où ses démarches en sont pour faire avancer le dossier. Elle dit qu’on l’intimide? Qu’est-ce que ce sera la prochaine fois? Elle va nous dire que « son chien a mangé son devoir » pour justifier son immobilisme? Un peu de sérieux madame Prouxl! » a déclaré Stéphane Lévesque, président de la FTPQ de Saint-Jean-Port-Joli.

Après deux ans de pandémie, et faisant face à une pénurie de main-d’œuvre et à l’épuisement des paramédics, le gouvernement se comporte en voyou en s’attaquant aux personnes qui souhaitent leur ouvrir les yeux. Plutôt que de les remercier, le gouvernement de la CAQ préfère les laisser sans contrat de travail pendant deux ans et refuse de négocier de bonne foi avec les représentants de tous les syndicats du domaine préhospitalier. Nous nous en désolons et craignons que des traces indélébiles soient laissées par ce manque de respect de leur part.

La FTPQ est un syndicat majeur dans le domaine du préhospitalier. Nous sommes le seul syndicat indépendant exclusif de paramédics au Québec. La FTPQ est un syndicat affilié au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui représente plus de 17 000 paramédics au Canada, ainsi qu’à la FTQ, la plus grosse centrale syndicale au Québec.

Les paramédics de la FTPQ déclenchent la grève groupe par groupe

Les paramédics membres de la Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, SCFP section locale 7300) entrent en grève graduellement, groupe par groupe.

Depuis le 5 février, les paramédics d’Ambulances Acton Vale, Ambulances Saint-Hyacinthe et Ambulances Granby, trois divisions de Dessercom inc., ont entamé la grève.

Il en va de même pour ceux des Services Préhospitaliers Paraxion inc., secteurs Amqui, Sayabec, Saint-Alexis, Pointe-à-la-Croix et Saint-Jean-Port-Joli, aussi en grève depuis le 5 février.

Le 9 février 2022 à minuit et une, les entreprises Ambulance 22-22 inc. en Mauricie, Service Secours Baie-des-Chaleurs ltée en Gaspésie et HRH Services Préhospitaliers inc., secteur Repentigny, seront à leur tour visées.

Puis, le 10 février 2022 à minuit et une, ce sera au tour des membres de la FTPQ de Services Préhospitaliers Paraxion inc., secteur Paspébiac et Bonaventure.

Dans tous ces cas, la grève est prévue pour une durée indéterminée. En vertu de la loi sur les services essentiels, les services à la population seront essentiellement maintenus et les perturbations seront de nature administrative.

« Nous sommes sans convention collective depuis plus de 21 mois. Nos conditions de travail ne sont plus attrayantes et ne gardent plus notre personnel en place. Le résultat, c’est que la qualité des soins est fragilisée et les problèmes de temps de réponse augmentent. C’est la santé et la vie de la population qui est en jeu dans les régions que nous desservons », a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

Pour renverser la vapeur, les paramédics réclament un changement de rangement dans la structure salariale et une réévaluation de leur classe d’emploi. Ils demandent également une augmentation de salaire de 3% pour chacune des années du contrat, des mécanismes pour assurer la prise d’une période de repas pendant leur quart de travail, des améliorations au régime de retraite visant à réduire l’âge de la retraite sans pénalité à 55 ans, une baisse du coût des assurances collectives et l’abolition des horaires de faction.

Rappelons qu’en novembre et décembre, les paramédics de la FTPQ-SCFP 7300 s’étaient dotés tour à tour de mandats de grève.

Refondation du réseau de santé public québécois : Cette fois-ci, n’oubliez pas les paramédics!

La Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) souhaite rappeler au ministre de la Santé et des Services sociaux, monsieur Christian Dubé, que les services ambulanciers québécois font partie intégrante du réseau de la santé québécois et qu’il devrait profiter de la refondation du réseau de la santé québécois pour nationaliser les services ambulanciers québécois.

La majorité des Québécois sont desservis par des entreprises ambulancières privées. Tout au long de la présente pandémie de COVID-19, les paramédics ont contribué aux efforts de dépistage et de vaccination, et sont même allés prêter main forte dans les salles d’urgence des hôpitaux. Le développement de la paramédecine communautaire, bien qu’embryonnaire, fait déjà ses preuves et contribue à désengorger les salles d’urgence en redirigeant de patients vers d’autres ressources ou en les prenant en charge.

En plus de permettre d’intégrer l’ensemble des paramédics québécois au réseau de la santé, une nationalisation faciliterait le déploiement des effectifs sur le territoire et permettrait de décloisonner la centaine de zones d’opération présentement en place au Québec et de permettre la mise en place d’un schéma de risque préhospitalier qui répondrait réellement aux attentes et aux besoins de la population.

« Un système de soins préhospitaliers d’urgence intégré au réseau de la santé permettrait des avancés que le modèle privé actuel rend impossibles. Pour que les paramédics québécois soient réellement intégrés à la première ligne du réseau de santé public québécois, la nationalisation des services ambulanciers est un incontournable » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

La FTPQ est un syndicat majeur dans le domaine du préhospitalier. Nous sommes le seul syndicat indépendant exclusif de paramédics au Québec. La FTPQ est un syndicat affilié au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui représente plus de 17 000 paramédics au Canada, ainsi qu’à la FTQ, la plus grosse centrale syndicale au Québec.